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30 mai 2011

vivre cette expérience à nouveau.






























Women's Line-up, Nayiri Dance Group, 1964 NY World's Fair.


à la rentrée, c'est décidé, je me remets à danser.
j'ai envie d'être gracieuse, comme toutes celles qui évoluent au sein de Yeraz ou de Naïri.
gracieuse, oui. chaque partie de moi.
pour oublier un peu mes épaules de nageuse est-allemande.
travailler la douceur et les arrondis, et la légèreté, et la beauté.
être une danseuse arménienne.

on a sunday...

Nevarte Hamparian, the matron saint of Armenian folk dance, left, and Mary Eretsian, 1950

27 mai 2011

a meeting with Orpheus

 
Orphée charmant les animaux (détail lyre) - Pierre FRANCQUEVILLE (1548 - 1615)

Exécuté en 1598 à Florence et posé dans le jardin parisien de Jérôme de Gondi, accompagné de figures d'animaux en bronze, ce marbre figura par la suite au Parc de Versailles.
Orphée charme les animaux aux sons d'une lyre, avec le chien à trois têtes, Cerbère, gardien des Enfers, à ses côtés.

21 mai 2011

























































Tinúviel the elven-fair, Immortal maiden elven-wise...
(from the Tale of Tinúviel, in chapter A knife in the dark, The Fellowship of the Ring)


j'ai replongé.
J.R.R. Tolkien, ce dealer.

20 mai 2011

tiens, ça fait quelques jours que ça me trotte vite fait dans la tête. couchons les mots ici, histoire d'être débarrassée.

au départ, c'est d'avoir acheté mes billets de trains pour charleville-mézières.
bien sûr, il ne s'agira pas du terminus, puisque le week end sera namurois, la belgique, cœur, tout ça. mais charlevile a entraîné ce garçon qui en a entraîné d'autres. voilà, truc bidon, j'ai repensé à tous ceux qui ont traversé ma petite vie, ceux dont le séjour à mes côtés fut des plus brefs comme ceux qui ont vogué avec moi de trop longs mois. 

charleville, à l'est. N. superbe prénom, charisme, cheveux merveilleux, saturday night wrist des deftones. au nord, c'était M., qui a toujours sa petite place dans mon cœur, le genre de garçon qui te met Reptilia dix fois dans une soirée, un vrai lillois, adorable. en belgique, B., avec qui j'ai passé une nuit à pleurer de rire, une nuit presqu'à la hauteur de celle passée avec C. cette espèce de fou furieux, qui m'a fait vivre une des plus belles soirées de ma vie, histoires dingues, quizz musical, un massacre, les touches du clavier ont tellement dégusté. il y a eu plein d'autres nuits avec ces deux-là, des soirées parano, spaghettonis, rock au bataclan, ou concert des bloodhound gang. je ne retiens que le bon, bien sûr. j'ai vraiment beaucoup ri avec eux, dans mon souvenir.

par contre, est-ce parce qu'il est le dernier en date, ou parce qu'il est resté trop longtemps dans ma vie, mais quand j'ai repensé à M., pfff, quel gâchis, j'ai que le naaaze qui ressort. faut rien regretter, soi-disant. mais quand même, je regrette franchement que mon état d'alors ait joué dans cette histoire, dans le sens où, je n'avais vraiment pas les idées claires. avec le recul, il est évident que j'ai perdu du temps, et que je me suis voilé la face dès le départ, le tout début. j'ai été faible, globalement. j'ai essayé de me convaincre. et puis, je n'ai pas ri. en plus d'un an et demi, je n'ai jamais ressenti le frisson ressenti avec B., C., même S. cet autre fou furieux de mes 22 ans. il était vraiment temps que ça s'arrête.

sinon, c'est marrant que je retourne en belgique. ça fait longtemps. je sais que l'humour et la sympathie des belges me terrassent à chaque fois. et vu la population qu'il va y avoir, je suis sûre de passer un excellent moment. 

et puis, après Liège, il faut découvrir les nuances de ce plat pays.

[LISTENING TO : Born this way, from the album Born this way - LADY GAGA]

14 mai 2011



ces derniers temps, je délaisse pas mal cette voix pour celle de Brandon Boyd.
mais que Daryl Palumbo se rassure s'il venait à passer par ici, je ne me lasserai jamais, jamais de lui.

12 mai 2011






[LISTENING TO : B-Boys Makin' with the Freak Freak , from the album Ill communication - THE BEASTIE BOYS]

11 mai 2011



festival de Cannes, ce soir !
+ Lady Gaga au grand journal de C+, avec un peu de bol, elle nous chante Judas
ou Born this way (tout sauf The edge of glory, quoi).

la photo est de Slimane, miam.

Skip the use à la Boule Noire




rhaaa, mais quelle vidéo, quel morceau, quel tube, quel conclusion Iron Maiden style, quel concert, quel groupe, quelle soirée !
et le gratteux avec son tee-shirt Beastie Boys, les grands esprits se rencontrent :).

une seule chose à dire : vivement le bataclan en octobre.
revivre un concert de malades dans la veine de cette boule noire/sauna.
revoir ces beautés que sont MatBastard et Jay (chant + basse ; les deux sont mariés, putain).
gueuler comme une folle furieuse les paroles de ce premier album (et du second aussi, I can be late, qui sera sorti d'ici là).
perdre deux kilos de sueur et de plaisir.

rock'n'roll will never die, cuz its written on his back !!!

an open letter to the Boys...



9 mai 2011

the 40 year old virgin, quel délice !

its the perfume on her wrists

AH OUI ! AUSSI, L'INFO DE LA SEMAINE, DU MOIS ! VIA SSKIZO :
DIASTÈME IS BACK DANS LES BACS !
I'M WRIGGLING !

putain, nuit blanche à l'horizon ? 
bon et bien, me voilà (je suis miss météo même la nuit).

latest news, j'ai passé ce dimanche dans le quartier des batignolles (et non pas des tartignolles comme le suggère l'autocorrect).
posé mes fesses chez mon beau-frère, aux Puces, pour y apprécier son exxxcellent brunch (ça faisait longtemps, l'oeuf bénédicte du Chef, yum, yum), puis sur un banc du parc et critiqué les blogueuses du Marais qui ne savent pas pondre plus de trois lignes et nous poster autre chose que du look tout naze en vidéo (rhooo, c'est pas très très sympa), 
pour ensuite mangé de la Cookie Dough Chip sur les champs, petit tour au 66 et à l'Espace éphémère Coca rue de la boétie, note to myself : y retourner avec la batterie CHARGÉE de mon appareil photo. 
agréable journée, donc, avec celle qui restera ma meilleure amie jusqu'au bout, ma sœur ! (coucou ma sœur !).

tout ça pour dire, mes chers lecteurs (et bien voilà, ça y est, c'est fait, je crois bien m'adresser à vous ainsi pour la première fois, comme ça, frontalement, directement, cash, bam, et ne vous cachez pas car je vous vois, même si vous ne vous manifestez pas beaucoup). je disais donc, chers lecteurs, vous devriez vraiment

- aller déjeuner/dîner/bruncher/boire des coups chez mon beau-frère, aux Puces des Batignolles.
pour votre plus grand plaisir, pas une mais DEUX ADRESSES PARISIENNES, 110 rue legendre (THE original) et/ou un petit peu plus loin, trottoir d'en face au numéro 83 (number two) !
les deux restaurants sont très faciles à trouver, se situant chacun à l'angle de deux rues (legendre+lemercier ET +nollet, paris17).
les Puces, c'est beau, c'est bon, la musique est bien sentie, le barman (beau gosse) fait de très bons cosmos mais quitte le restaurant bientôt, magnez-vous, c'est ouvert 7/7,  c'est bon à savoir, la viande rouge est à tomber, le foie gras à se taper le cul par terre, les desserts mortels (le classic tiramisu nutella, la tarte aux daims et autres petites merveilles), la carte est simple et pourtant fantastique, et le grand et bel homme qui vous servira à la cool, et bien, c'est mon beau-frère ! et il est sympaaa ! 
to put it in a nutshell, deux adresses à noter imérativement tout de suite maintenant dans votre liste de chouettes spots parigots (mais pas du tout têtes de veau !).



- faire un tour à l'Espace Coca Cola qui fête ses 125 ans, c'est le moment où jamais, et on se démerde pour le numéro de la rue !
- j'ai pas de troisième tiret.

bon, qu'est-ce-que je voulais dire, sinon. 
ah oui, le dernier Glamour est un régal, avec Leïla Bekthi en couverture, jolie comme un cœur (pas trop le cas de sa pote Géraldine Nakache par contre, mais je vais arrêter de bitcher). elle donnerait presqu'envie de se pencher sur "tout ce qui brille", mais FAUT PAS DÉCONNER NON PLUS ! 
bon et puis, cette adresse Glamour, lààà... pose de vernis POUR CINQ EUROS ? vais-je me donner la peine d'y mettre les (ongles de) pieds ? vernis Chanel or not vernis Chanel, du coup ? le Mimosa me fait les yeux doux, mais vite fait quand même. ou bien décider de me mettre à l'autobronzant version brume (page 208) ? mais que m'arrive-t-il, scheibe, cette envie de ressembler à quelque chose, quelque chose de présentable, Glamour, quel effet tu me fais cette nuit, serait-ce vraiment possible d'être iconic au marché franprix ?
(hanlala je raconte vraiment n'importe quoi. même pas de verre dans le nez, peut-être mes ragnagnas qui me retournent la tête et font la fiesta un peu partout dans mon corps, mais surtout là où vous savez.... et je ferai mieux d'occuper mon temps à d'autres choses que ces conneries de blog, comme par exemple ranger le bordel qui envahit - lentement mais sûrement - mon bureau, ranger mes dossiers, ranger mes photos, ranger).

raaah, et cet article consacré aux hipsters, big love :D

tiens, je viens de trouver mon troisième tiret ! 
- vous devriez achetez le dernier Glamour, juin 2011, 1,80 €, 87ème du nom, pour vivre mai au top mais surtout juin, car beau mois de juin change herbe rare en beau foin (le vieux dicton de merde).


ET POUR CONCLURE CET ARTICLE DE MALADE MENTAL, LA PERSONNE AUX MANETTES DU BLOG LOU'S SONG EST PRIÉE DE NE PAS S'EXCITER LORSQUE JE POSTE DES WISHLISTS MERCI, C'EST JUSTE QUE J'AIME BIEN FAIRE çA QUAND J'AI RIEN DE TRÈS SPÉCIAL À FAIRE, HISTOIRE DE VOIR PLUS TARD À QUEL POINT JE PEUX AVOIR DES ENVIES À LA CON, COMME LÀ TOUT DE SUITE, L'ENVIE D'ÊTRE BELLE,  L'EFFET GLAMOUR AVEC PUBS H&M BOMBASSES EN MAILLOTS DE BAIN INSIDE !

allez, ça suffit. je me suis fatiguée.

6 mai 2011

blur


après visionnage, je dois dire que le clip ne me traumatise pas des masses.
j'imagine que c'est l'effet Born this way, tellement inattendu, angoissant, tellement dégueulasse (les implants, tout ça)... 

le clip de Judas se voulait encore plus révolutionnaire et plus choquant que son prédécesseur.
finalement pour moi, il passe bien après le clip par Nick Knight (sans parler du clip d'Alejandro),
malgré les scènes bibliques encore très marquées (le lavement des pieds, par exemple, qui fait l'objet de très nombreux plans). 

enfin bon, j'arrive toujours pas à détester Gaga à mort, et pourtant, il y a de quoi, une fois de plus.
[LISTENING TO : Don't play no game that i can't win, from the album Hot sauce committee part two - THE BEASTIE BOYS]


1 mai 2011

en fait, la Turquie, je la dégage de ma wish list.  je suis trop dans ces histoires de brimades, de vexations, de vols, de viols, de pillages, de massacres. okay, c'était 1895 ... et 1915..., mais merde. je veux plus. ça me reprendra peut-être, mais si voyage à faire ou à rêver, je délaisse l'Arménie historique pour la République d'aujourd'hui. j'ai acheté un drapeau, j'espère le recevoir à temps pour le 4 mai.

j'ai rêvé étrange ces deux dernières nuits. j'ai rêvé de lui et de ce dont j'ai souvent rêvé, par le passé, éveillée. j'étais vraiment troublée au réveil. c'était lui, c'est certain. et cette nuit, c'est E. qui est venu me visiter. je crois que j'ai rêvé d'Azad, aussi. de sa maison. il me semble qu'elle était à la fenêtre de son petit salon.
j'ai vaguement repensé à M., du coup, et ce qui en est ressorti, finalement, ce n'est pas grand chose. je me suis souvenue que parfois, il me dégoûtait physiquement. hardcore. j'aurai dû m'écouter. il est sorti de ma vie, je respire.

et mon cœur de groupie s'enflamme, skip the use, bien sûr, quel concert incroyable à la boule noire, l'autre soir, punk rock dégueulasse, slams dans tous les sens, humour du frontman, litres de sueur, dans le public, on a vraiment gueulé comme des porcs. the strokes, en juillet, 50 euros le ticket, ça m'a fait mal, mais ça me fera du bien. et puis rock en seine, j'ai mon sésame pour le premier jour, en attendant de choper celui du dernier, je laisse ma CB refroidir un peu, bordel.

oh et, puis, j'ai parlé à Beyoncé, quelle douceur dans sa voix, et quelle beauté, quelle beauté ! faudrait que j'invente des mots qu'existent pas dans le dico'.

et j'attends de voir ma sœur pour récupérer mon mug (?) Wills and Kate ! mon thé vert à la menthe aura une  saveur toute particulière, c'est sûr.


[LISTENING TO : The warmth, from the album Make yourself - INCUBUS]