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21 mars 2011

ça fait plus d'une heure que je cherche le sommeil, que je tourne dans mon immense lit, que je me bats avec mes couettes (j'en ai deux, oui). je décide finalement de rallumer mon mac. c'est l'heure d'écrire ce post. ça fait quelques jours qu'il est sur ma to do list mentale. j'ai fait une playlist riquiqui ce soir. en fait, trouvailles sonores nineties ou pas, je ferai d'autres listes à écouter, c'est quasi certain. parce que je suis une tarée. une tarée des listes. j'en ai toujours fait des tas. dans ma tête, sur un papier, dans mes innombrables carnets. les morceaux les plus écoutés dans ma vie, place your hands, bittersweet symphony, give it away, wonderwall, et caetera. les métiers rêvés, réalisateur, écrivain, archéologue, et d'autres auxquels je ne pense plus, là, tout de suite. les groupes dont je ne pourrai jamais me passer, il y a des ratures, et des indétrônables sur cette liste, avec incubus tout en haut. incubus qui ne la quittera jamais. les villes que je rêve de visiter, istanbul, los angeles, athènes, petra, et la liste continue, bien sûr. les livres à lire. les films à voir, M le maudit, metropolis, le rite, le discours d'un roi. les livres à relire, pour la sixième fois, au moins, dracula, the lord of the rings, et caetera.

demain, je pourrai enfin rayer ce "post" de ma to do list mentale. enfin, je dis ça, mais je suis sûre que, tout à l'heure, dans mon lit, quand il sera online, j'aurai des tas de trucs à écrire sur cette manie à la con.  parce que j'ai oublié où je voulais en venir, en fait. il est 01:57, en même temps. en même temps, c'est pas comme si j'avais dix milliards de trucs à penser ces temps-ci. ohlalala, j'écris comme une n'importe quoi. il faudrait peut-être que j'essaye de moins jeter mes phrases comme ça. sans majuscules, en plus. quel gros pavé. tu parles d'un style.

donc. premières lignes de ma to do list du vingt-et-un mars, et du printemps (dans un second temps)

me trouver un style,
(nan, en fait, nan.)
rayer au bic noir un peu plus de trucs sur mes listes.
les coucher davantage sur le papier, du coup. parce que dans ma boîte crânienne, elles vont et viennent, et c'est un peu le bordel, à force.
coucher tout plein d'autres trucs sur papier.
voilà.

ah, et arrêter de dire voilà, aussi.


[LISTENING TO : Circuits of fever, from the album Common existence - THURSDAY ]

1 commentaire:

  1. Ha ha, moi c'est "tu vois c'que j'veux dire ?" Gros gros tic de langage. Mon homme en peut plus.

    See U !

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